Quand les �diteurs se servent de Kickstarter
Le ph�nom�ne Kickstarter n'a pas �chapp� aux puissants �diteurs qui y voient forc�ment un int�r�t financier.
Le studio Obsidian soul�ve un probl�me qui fait scandale sur la toile. Pr�sent sur Kickstarter, le d�veloppeur californien a r�ussi � lever plus d'un million de dollars pour produire et lancer son nouveau projet : Project Eternity. On le rappelle, ce site permet � des d�veloppeurs ind�pendants de financer leurs jeux gr�ce � l'investissement des internautes.
Le v�ritable succ�s de Kickstarter n'a pas �chapp� aux �diteurs qui souhaitent �galement prendre leur part du g�teau. Sur la pages de commentaires de Project Eternity, Obsidian d�nonce les m�thodes extr�mement douteuses des compagnies :
� Nous avons effectivement �t� contact�s par certains �diteurs au cours des derniers mois, qui voulaient se servir de nous pour faire un Kickstarter. Je leur ai dit � Alors, vous voulez que nous fassions un Kickstarter pour vous, en utilisant notre nom, que nous obtenions l'argent pour faire le jeu, et qu'ensuite vous publieriez le jeu, mais nous n'en garderions pas la propri�t�, seulement une partie des b�n�fices? � Ils ont dit : oui. �
Quel opportunisme... un culot qui laisse sans voix. Car si la majorit� des �diteurs ne veut plus prendre aucun risque, pr�f�rant se recentrer sur des marques install�es, ces compagnies sont quand m�me ouvertes quand il s'agit de prendre de l'argent sans en d�penser.
Source : Factornews
Le v�ritable succ�s de Kickstarter n'a pas �chapp� aux �diteurs qui souhaitent �galement prendre leur part du g�teau. Sur la pages de commentaires de Project Eternity, Obsidian d�nonce les m�thodes extr�mement douteuses des compagnies :
� Nous avons effectivement �t� contact�s par certains �diteurs au cours des derniers mois, qui voulaient se servir de nous pour faire un Kickstarter. Je leur ai dit � Alors, vous voulez que nous fassions un Kickstarter pour vous, en utilisant notre nom, que nous obtenions l'argent pour faire le jeu, et qu'ensuite vous publieriez le jeu, mais nous n'en garderions pas la propri�t�, seulement une partie des b�n�fices? � Ils ont dit : oui. �
Quel opportunisme... un culot qui laisse sans voix. Car si la majorit� des �diteurs ne veut plus prendre aucun risque, pr�f�rant se recentrer sur des marques install�es, ces compagnies sont quand m�me ouvertes quand il s'agit de prendre de l'argent sans en d�penser.
Source : Factornews
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