Test de Half-Life
On ne le r�p�tera jamais assez, mais Half-Life a marqu� l�histoire du jeu vid�o d�une grosse croix en or massif. Jusqu�alors, le genre si populaire du doom-like ne connaissait finalement que des successions de niveaux et de monstres tous plus navrants les uns que les autres avec le recul. Avec Half-Life, on a d�couvert le sens du mot � sc�narisation �. Le jeu reste tr�s pratiqu� de nos jours, m�me s�il commence l�g�rement � dater, puisqu�il est sorti en d�cembre 1998. C�est qu�il est utilis� pour pratiquer l�un des passe-temps en r�seau les plus pris�s : Counter Strike. Mais il serait dommage de r�duire HL au faire-valoir de CS.
Half-Life, c�est avant tout une histoire. Vous incarnez Gordon Freeman, laborantin et scientifique dans un superbe complexe souterrain appel� Black Mesa. Le jeu se d�roule � notre �poque, et il s�agit donc sans doute d�une base secr�te financ�e par le gouvernement des Etats-Unis d�Am�rique. Vous commencez dans le monorail qui sillonne la base, ce qui vous permet de d�couvrir l�immensit� du terrain de jeu et la finesse des graphismes aussi bien que des animations. Si vous recommencez le jeu, vous d�couvrirez d�ailleurs quelques d�tails qui auraient d� vous mettre la puce � l�oreille d�s le d�but sur ce qui va mal tourner�
En participant � une exp�rience d�licate, vous allez cr�er une surcharge en exposant une nouvelle mati�re � un faisceau �nerg�tique, ce qui va ouvrir une br�che entre notre monde et une autre dimension. La mise en sc�ne est parfaite, et le chaos ne tarde pas � frapper � votre porte. L�explosion qui suit l�exp�rience a mis la base dans un bel �tat, et des monstres se mettent � courir partout. Mais attention, il ne s�agira pas de partir au combat la fleur au fusil pour d�gommer de l�alien. Non, non et non. Tout d�abord parce que vous n��tes pas �quip�, vous �tes un scientifique apr�s tout. Et ensuite, parce que les monstres ne vont pas se laisser faire.
Si Half-Life s�appuie sur un sc�nario en b�ton et n�est pas bourrin pour un sou, ce n�est cependant pas un jeu de r�le. C�est tout simplement un doom-like savamment orchestr�, dot� d�une bonne intelligence artificielle et d�une mise en sc�ne de tous les diables. Le jeu se compose d�un seul immense niveau, sauf son d�coupage en chapitres, avec de petits temps de chargement entre certaines surfaces. L�ambiance qui se d�gage du jeu tient aussi bien du graphisme que du son. On s�y croirait. De nos jours encore, Half-Life se place en t�te des favoris de bien des gamers, alors, si vous ne l�avez pas encore chez vous, filez vous faire pardonner chez le revendeur du coin !
Half-Life, c�est avant tout une histoire. Vous incarnez Gordon Freeman, laborantin et scientifique dans un superbe complexe souterrain appel� Black Mesa. Le jeu se d�roule � notre �poque, et il s�agit donc sans doute d�une base secr�te financ�e par le gouvernement des Etats-Unis d�Am�rique. Vous commencez dans le monorail qui sillonne la base, ce qui vous permet de d�couvrir l�immensit� du terrain de jeu et la finesse des graphismes aussi bien que des animations. Si vous recommencez le jeu, vous d�couvrirez d�ailleurs quelques d�tails qui auraient d� vous mettre la puce � l�oreille d�s le d�but sur ce qui va mal tourner�
En participant � une exp�rience d�licate, vous allez cr�er une surcharge en exposant une nouvelle mati�re � un faisceau �nerg�tique, ce qui va ouvrir une br�che entre notre monde et une autre dimension. La mise en sc�ne est parfaite, et le chaos ne tarde pas � frapper � votre porte. L�explosion qui suit l�exp�rience a mis la base dans un bel �tat, et des monstres se mettent � courir partout. Mais attention, il ne s�agira pas de partir au combat la fleur au fusil pour d�gommer de l�alien. Non, non et non. Tout d�abord parce que vous n��tes pas �quip�, vous �tes un scientifique apr�s tout. Et ensuite, parce que les monstres ne vont pas se laisser faire.
Si Half-Life s�appuie sur un sc�nario en b�ton et n�est pas bourrin pour un sou, ce n�est cependant pas un jeu de r�le. C�est tout simplement un doom-like savamment orchestr�, dot� d�une bonne intelligence artificielle et d�une mise en sc�ne de tous les diables. Le jeu se compose d�un seul immense niveau, sauf son d�coupage en chapitres, avec de petits temps de chargement entre certaines surfaces. L�ambiance qui se d�gage du jeu tient aussi bien du graphisme que du son. On s�y croirait. De nos jours encore, Half-Life se place en t�te des favoris de bien des gamers, alors, si vous ne l�avez pas encore chez vous, filez vous faire pardonner chez le revendeur du coin !