Test de Counter-Strike
(version test�e : Beta 6)
Pour ceux d'entre vous ne connaissant pas cette modification de Half-Life, r�sumons en disant que Counter-Strike plonge le joueur dans une bataille entre Terroristes et Forces Sp�ciales.
Une partie dure g�n�rallement 30 minutes, et consiste en une suite de confrontations se d�roulant, sur une seule et m�me carte, en "round" de 4-5 mn (selon les param�trages serveurs et le niveau d'adversit� des joueurs pr�sents). Lorsqu'un personnage meurt, ce qui peut arriver tr�s vite, le joueur l'incarnant est bon pour attendre la fin du round. Libre � lui pendant ce temps d'explorer la carte (en mode fant�me) afin de mieux se pr�parer en �tudiant les divers parcours possibles, en observant la strat�gie de l'adversaire, ou plus simplement en profitant du spectacle. Notez que certains moments grandioses ne peuvent vraiment qu'�tre v�cus en mode "ghost" (un mode id�al pour la capture d'�cran !). Evidemment, il est impossible de communiquer avec quiconque autre qu'un mort et un spectateur.
Les victoires se traduisent par une r�compense en monnaie sonnante (avec un minimum pour les vaincus !) cela sur une �chelle essentiellement constitu�e par les "kills" et la r�alisation des objectifs propre � la mission de chaque camp. Cette derni�re accomplie, on prend les m�mes et on recommence. Les vainqueurs, gr�ce � un budget plus important, se retrouvent ainsi avec une relative avance en terme de mat�riel, obligeant les vaincus � faire preuve d'un peu plus de tactique ou d'audace, c'est selon. Le jeu finit la majeure partie du temps par s'�quilibrer jusqu'� la prochaine bataille. Arriv� � ce stade, tout le monde recommence sur une nouvelle carte.
Ce qui distingue Counter Strike de la majeure partie des "mods" est son sens du r�alisme. Ici, une balle bien plac�e suffit � vous envoyer l'adversaires pa�tre. Les armes et munitions ne fleurissent pas sur le sol. On ne se soigne pas spontan�ment. Courir fait du bruit et diminue fortement vos chances de toucher l'adversaire � l'inverse d'une progression accroupie; plus les armes sont lourdes, moins vous courez vite, apr�s chaque saut, le joueur est plus fatigu� ce qui l'empeche de jouer au ressort et cela le ralentit l�g�rement quelques secondes...
Depuis sa premi�re apparition en juin 1999, CS a connu une fameuse �volution, bien que le principe initial n'ait gu�re chang� (chaque camp devant exterminer l'autre). Et pour cause, dot� d'une r�alisation technique frisant d�sormais le professionnalisme, Counter-Strike s'est impos� comme une r�f�rence, ayant m�me rel�gu� ces derniers temps Team Fortress au 2nd rang en terme de popularit�. On ne peut que faire chapeau bas � ses cr�ateurs qui nous ont offert, gratuitement de surcro�t, une extension de jeu � mi-chemin entre Half-Life et Rainbow 6.
Pour ceux d'entre vous ne connaissant pas cette modification de Half-Life, r�sumons en disant que Counter-Strike plonge le joueur dans une bataille entre Terroristes et Forces Sp�ciales.
Une partie dure g�n�rallement 30 minutes, et consiste en une suite de confrontations se d�roulant, sur une seule et m�me carte, en "round" de 4-5 mn (selon les param�trages serveurs et le niveau d'adversit� des joueurs pr�sents). Lorsqu'un personnage meurt, ce qui peut arriver tr�s vite, le joueur l'incarnant est bon pour attendre la fin du round. Libre � lui pendant ce temps d'explorer la carte (en mode fant�me) afin de mieux se pr�parer en �tudiant les divers parcours possibles, en observant la strat�gie de l'adversaire, ou plus simplement en profitant du spectacle. Notez que certains moments grandioses ne peuvent vraiment qu'�tre v�cus en mode "ghost" (un mode id�al pour la capture d'�cran !). Evidemment, il est impossible de communiquer avec quiconque autre qu'un mort et un spectateur.
Les victoires se traduisent par une r�compense en monnaie sonnante (avec un minimum pour les vaincus !) cela sur une �chelle essentiellement constitu�e par les "kills" et la r�alisation des objectifs propre � la mission de chaque camp. Cette derni�re accomplie, on prend les m�mes et on recommence. Les vainqueurs, gr�ce � un budget plus important, se retrouvent ainsi avec une relative avance en terme de mat�riel, obligeant les vaincus � faire preuve d'un peu plus de tactique ou d'audace, c'est selon. Le jeu finit la majeure partie du temps par s'�quilibrer jusqu'� la prochaine bataille. Arriv� � ce stade, tout le monde recommence sur une nouvelle carte.
Ce qui distingue Counter Strike de la majeure partie des "mods" est son sens du r�alisme. Ici, une balle bien plac�e suffit � vous envoyer l'adversaires pa�tre. Les armes et munitions ne fleurissent pas sur le sol. On ne se soigne pas spontan�ment. Courir fait du bruit et diminue fortement vos chances de toucher l'adversaire � l'inverse d'une progression accroupie; plus les armes sont lourdes, moins vous courez vite, apr�s chaque saut, le joueur est plus fatigu� ce qui l'empeche de jouer au ressort et cela le ralentit l�g�rement quelques secondes...
Depuis sa premi�re apparition en juin 1999, CS a connu une fameuse �volution, bien que le principe initial n'ait gu�re chang� (chaque camp devant exterminer l'autre). Et pour cause, dot� d'une r�alisation technique frisant d�sormais le professionnalisme, Counter-Strike s'est impos� comme une r�f�rence, ayant m�me rel�gu� ces derniers temps Team Fortress au 2nd rang en terme de popularit�. On ne peut que faire chapeau bas � ses cr�ateurs qui nous ont offert, gratuitement de surcro�t, une extension de jeu � mi-chemin entre Half-Life et Rainbow 6.